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Amours Augmentées à l’Université de Lausanne

Jeudi 9 décembre 2021, Irène Maffi, professeure d’anthropologie culturelle et sociale à l’Université de Lausanne (STS Lab, Institut des sciences sociales) organise un workshop consacré au numéro Amours Augmentées que j’ai coordonné pour la revue Terrain. L’occasion de croiser trois regards sur les raisons pour lesquelles des humains s’éprennent de poupées en ivoire, en images de synthèse ou en pâte d’amande. Lien zoom : https://unil.zoom.us/j/2741017035

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PRESENTATION : Dans la lignée LGBTQI+, de nouvelles catégories de personnes (diversement estampillées objetsexuelles, robophiles, technofétichistes ou fictosexuelles…) réclament le droit à la reconnaissance. Amoureuses d’un pont, d’une machine, d’une valise ou d’une idole numérique, elles questionnent les normes d’appariement qui prévalent dans leurs environnements sociaux. Leurs liaisons suscitent des inquiétudes dont les autorités elles-mêmes se font l’écho. Des commissions d’éthique se mettent régulièrement en devoir d’étudier le cas des objets jugés « trop » attachants et posent la question : faut-il en interdire la production ? Dans son numéro Amours Augmentées, la revue Terrain propose d’éclairer les débats publics actuels en examinant de manière comparative des cas de « partenaires » sentimentaux et/ou sexuels qui ne sont pas humains. Les poupées high-tech ne sont pas les seules créatures susceptibles de créer du trouble ainsi que trois contributrices à Terrain le démontreront. Dominique Brancher parlera des désordres causé par l’émergence d’un imaginaire de la plante sexuelle. Federica Tamarozzi évoquera les époux en pâte sucrée de l’Italie du Sud. Agnès Giard se consacrera aux mariages avec des personnages de jeux vidéo japonais.

Kazuo Ishiguro et l’amour augmenté – Revue de presse

« L’amour c’est fini. Maintenant que des humains épousent des logiciels… » Christophe Bourseiller excelle à jouer les désabusés. Il parle donc des amours augmentées dans sa chronique RTL du 26 septembre 2021 sur un ton faussement morose, rapprochant de façon flatteuse le dernier numéro de Terrain (intitulé « Amours Augmentées ») et le dernier roman de Kazuo Ishiguro (Klara et le soleil) qui parle de relations avec une intelligence artificielle.

L’Express consacre aussi (sous la plume de Sébastien Julian) un article au numéro, mettant en valeur ce fait que « l’objectophilie » devient de plus en plus visible dans les médias. Pas un mois ne passe, désormais, sans qu’une nouvelle ne tombe – classée “insolite” – concernant le mariage d’un humain avec, au choix, un chandelier, un avion, un fantôme de pirate hawaïen, une valise ou un cendrier.

Dans Le Monde, Maïa Mazaurette classe le numéro 75 de Terrain parmi les lectures conseillées de la rentrée, affirmant avec ferveur qu’elle se sent « émerveillée par notre capacité collective à aimer« .

Dans le numéro du 20 octobre 2021, Télérama (sous la plume de Juliette Cerf) consacre aussi une jolie chronique à cette parution. Je me permets de reproduire son texte ci-dessous.

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Sur Radio Campus, il sera également question des objectophiles (les personnes amoureuses d’un objet) et du rapport au non-humain. Le 4 novembre, à 20h, Gaspard Delaruelle mène avec moi, tambour battant, un échange de 45 minutes dans l’émission L’Atome du savoir. Retransmission en ligne puis sur podcast, ici.

Sur la chronique inspirée de Mattéo Caranta (« la revue de presse des idées« , France Culture), cliquez sur le lien à 3 minutes. C’était diffusé le 25 décembre 2021 (jour de Noël dans tous les sens du terme !). Il y est question de Terrain 75, mais surtout de l’article signé par Dominique Brancher sur la phytophilie.

 

Rencontre au Musée du Quai Branly – 23 sept. 2021

Quatre regards croisés sur les amours bizarres, ce jeudi 23 septembre, au Salon Jacques Kerchache du Musée du quai Branly. Pierre Lemonnier abordera le lien ambigu qui unit le conducteur aux voitures anciennes. Marie Baltazar parlera des relations que les organistes nouent avec « la plus sensuelle des machines ». Clotilde Chevet évoquera les usages romantiques, voire érotiques, du chatbot Replika. Quant à moi je ferai l’introduction générale, encourageant le public à poser plein de questions.

Entrée gratuite, de 18h à 20h. N’oubliez pas de venir avec un pass ou un test PCR. Musée du Quai Branly, Salon Jacques Kerchache : 37 Quai Branly, 75007 Paris. (Métro : Pont de l’Alma. Bus 42 ou 72)

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Apéro-débat au MEN – 14 sept. 2021

Capture d’écran 2021-09-20 à 14.30.56Le Musée d’Ethnographie de Neuchâtel (MEN) organisait, ce 14 septembre, un apéro-débat pour le lancement du Terrain n°75 sur le thème « Faut-il interdire les robots sexuels ? »

But de la rencontre : questionner les peurs relatives au développement des technologies émotionnelles. ON se rappelle qu’en février 2017, Mady Delvaux – à la tête d’une commision en robot-éthique – proposait très sérieusement d’interdire l’attachement émotionnel à des robots… Elle s’appuyait principalement sur des avis d’« experts» pour défendre son projet de loi. Mais quels experts ? Les anthropologues ont-ils leur mot à dire dans les débats publics ? Il s’agissait pour nous d’éclairer les tentatives d’encadrer, brimer et légiférer les désirs en examinant de manière comparative différents cas de partenaires non humains. En dehors des machines, bien d’autres créatures créent du trouble mais pourquoi ? Dominique Brancher a parlé des lierres séducteurs de la Renaissance. Federica Tamarozzi a évoqué les maris en massepain de l’Italie du Sud. Quant à moi, je me suis penchée sur les fiancées virtuelles au Japon.

La page Facebook du MEN.

Terrain n°75, enfin en librairie !

Ca y est, le numéro AMOURS AUGMENTÉES de la revue d’anthropologie Terrain sur le thème des liaisons interdites (avec des non-humains) vient de sortir en librairie. C’était un gros travail de coordination, réalisé avec l’aide de Christine Jungen et d’Emmanuel Grimaud.

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PRESENTATION DU NUMERO – Les raisons qui poussent tant de gens, ici ou ailleurs, à nouer des relations privilégiées avec des non-humains, jusqu’à leur donner l’apparence de la plus parfaite félicité conjugale, restent encore mal comprises. C’est à ces formes limites d’attachement que ce dossier est consacré. Les amours entre humains et non-humains seront abordées comme des manières d’augmenter les choses qui nous entourent en y superposant des zones érogènes ou des points de contact. Explorant une dimension jusqu’ici peu étudiée du « rapport » aux objets – le rapport amoureux -, ce numéro décrypte les scénarios qui permettent aux humains d’avoir des liaisons avec toutes sortes de partenaires : squelette, orgue, arbre, voiture, chatbot ou bonhomme en massepain…

SOMMAIRE

INTRODUCTION Peut-on s’éprendre de tout ? Formes limites du lien amoureux. Agnès Giard

ARTICLES
« Cette bagnole m’a donné deux grandes joies ! » Essai d’auto-anthropologie. Pierre Lemonnier
Éloge de l’herbe folle. Les défis de la phytophilie (xve-xviiie siècles). Dominique Brancher
Amours, délices et orgues : La mécanique du désir. Marie Baltazar
De sucre et d’ivoire. Se fabriquer un conjoint sur mesure dans les contes populaires de l’Italie du sud. Federica Tamarozzi

RÉCITS
Post update blues. Pourquoi mon amie est-elle devenue si robotique ? Clotilde Chevet
Leurres à ombres-doubles. Attirer la chance en amour en pays gouro. Claudie Haxaire

PORTFOLIOS
L’érotisme végétal au féminin. Corps à corps avec une nature érotisée. Camille Koskas
Rire face à la mort. Étreintes liminales dans la culture visuelle mochica. Steve Bourget

ENTRETIEN
Extension du domaine de l’amour. L’encadrement psychopathologique des attachements. Entretien avec Julie Mazaleigue-Labaste

MUSÉO
Amants aquatiques. La spirale interprétative d’un pendentif mississippien. Benjamin Balloy

Robots, dolls and the labor of love – 11 sept. 2021

Invitée par le psycho-sociologue Alain Giami au colloque de l’Association Mondiale pour la Santé Sexuelle (WAS) qui se déroule du 9 au 12 sept. 2021, j’aborde la spécificité conceptuelle des recherches menées au Japon en robotique (et par extension dans le domaine des robots émotionnels voire sexuels) en montrant le continuum qu’ils forment avec les créatures kawaii (adorables, car pathétiques et vulnérables).

Artificial Attachments in Japan. Robots, Dolls and the Labor of Love

Samedi 11 sept, conférence en ligne à 14h30 (heure de Paris). Pour s’inscrire : was2021.org/registration

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“Buchô kawaii” : quand ton chef de bureau découvre le télé-travail

Le thème du colloque que j’organise au sein du groupe de recherche EMTECH (« Identités désirées. Métamorphoses et nouvelles technologies au Japon« ) entre curieusement en résonance avec les effets, parfois inattendus, de la pandémie. Forcés d’effectuer leurs réunions en vidéo-conférence, des milliers de télé-travailleurs(euses) essayent d’apprivoiser les logiciels de vidéo-conférence… et leurs options « avatars ». Il devient ainsi possible de modifier son apparence en ligne et d’adopter une image de rêve, à l’instar des V-Tubers qui se « déguisent » (ou plutôt se « dévoilent ») en jeunes filles de dessin animé pour faire des vidéos YouTube. Le 30 avril, un ami (Kodama) m’envoie l’image suivante – trouvée sur ni-chan, à la section Corona (コロナ) – et commentée abondamment par des otakus hilares qui rajoutent des cases supplémentaires à cette histoire, des cases de plus en plus grivoises, évidemment.

1587738069666Je traduis sommairement le dialogue: un employé parle à son supérieur « Buchô (manager), nous allons faire du télé-travail demain ». Le chef : « Oh, ça fait très futuriste. Je me réjouis ». Case suivante : « Buchô ! Mais pourquoi êtes-vous en “Live 2D” !? ». Le chef : « Ah ? Ce n’est pas bien ? ».

La phrase “Damenanokai » (Il y a un problème ? Ca ne se fait pas ? Ce n’est pas bien ?) fait les délices des commentateurs sur ni-chan, qui la reprennent en choeur, tout en mimant une très forte excitation pour le buchô kawaii. Ce qui amène à la question : et si le coronavirus rendait le monde plus beau, ou du moins plus proche de ce que les otakus revendiquent comme étant un monde plus beau, celui de la fiction ? D’une certaine manière, avec cette épidémie, une partie longtemps stigmatisée de la population prend sa revanche sur la société toute entière. Car la société est maintenant forcée de vivre comme vivent les otakus… voire pire. Les hikikomoris.

Colloque « Identités Désirées » : LiveStreaming au musée du quai Branly, 27-28 juin 2020

En raison de la pandémie, le colloque international “Identités Désirées. Métamorphoses et nouvelles technologies au Japon” qui devait avoir lieu à Paris les 29 et 30 avril, aura lieu en LIVE STREAMING sur la Chaine YouTube du musée du quai Branly qui accueille l’événement dans ses murs dématérialisés.

Le colloque se déroulera en ligne les samedi 27 et dimanche 28 juin 2020 : deux jours pendant lesquels, entre midi (heure de Paris) et 17h20, les internautes pourront voir les présentations des chercheurs sous la forme de vidéos courtes (30 mn) entrecoupées de pauses, de court-métrages inédits et de rendez-vous avec les chercheurs pour poser des questions dans un espace de rencontre dédié.

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Les vidéos seront diffusées les unes après les autres suivant un programme précis (ci-dessous), ce qui permettra aux internautes de se brancher tous en même temps pour assister à la conférence de leur choix, échanger des salutations, poster des commentaires en direct sur la chat-box de YouTube. Ces commentaires disparaitront à la fin de la vidéo. Pour ceux et celles qui ne seraient pas libre au moment de la diffusion en LiveStreaming, pas d’inquiétude : une fois diffusée en (faux) direct, chaque vidéo sera automatiquement installée sur la chaine YouTube du musée du quai Branly, en libre accès pendant plusieurs mois. En revanche, les vidéos d’art ne seront diffusées qu’une seule et unique fois, pendant le LiveStreaming.

Chaque Panel disposera d’un espace de rencontre (chat-room) pour que les conférenciers puissent répondre aux questions, pendant 20 minutes.  Les internautes souhaitant discuter avec les chercheurs pourront s’inscrire sur un formulaire anonyme Google afin de recevoir une invitation correspondant aux réunions (chat-meetings) de leur choix. Les personnes n’ayant pas le temps de s’inscrire pourront directement cliquer sur l’adresse indiquée dans le programme (je les rajoute d’ici quelquesjours), afin de se rendre à la réunion : il leur faudra alors s’inscrire sur Webex, le logiciel de vidéo-rencontre en ligne utilisé pour le colloque.

Desired Identities
New Technology-based Metamorphosis in Japan

Digital International Conference organized as a Live Streaming Event on the YouTube channel
of musée du Quai Branly  by the ERC-Funded Research Project
“Emotional Machines: The Technological Transformation of Intimacy in Japan” (EMTECH) in cooperation with the Department of Research and Higher Education of the musée du quai Branly

SATURDAY: 12:00–17:20 | June 27, 2020

12:00-12:10 | Philippe CHARLIER (Director of the Department of Research and Higher Education of musée du quai Branly – Jacques Chirac, France): Welcome Speech – “How to Make Love with a Ghost?

12:10–12:20 | Liudmila BREDIKHINA & Agnès GIARD: Can’t Stop “Me” Anymore – Mō “Watashi” Tomaranai (short film, 2020)

12:20–12:30 | Superflux (Anab JAIN & Jon ARDERN): Trigger Warning (short film, 2018)

12:30–13:10 | Dominique BOULLIER – Keynote (Professor, Sciences Po, CEE, France): Extension of the Domain of Fake

13:10–13:30 | Chat Meeting (20 mn)

13:30–14:00 | Lunch Break (30 mn)

°°°°°°°°°°°°°°°°°°° PANEL: High-tech and kyara-ka °°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°

14:00–14:30 | Akihiko SHIRAI (Director of GREE VR Studio Lab, Japan): Research and Development for Avatar-Driven Virtual Society in VR4.0 Era

14:30–15:00 | Patrick W. GALBRAITH (Lecturer, Senshū University, Japan): Character, Culture, Platform: Locating Emotional Technology in Contemporary Japan

15:00–15:20 | Chat Meeting (20 mn)

15:20–16:00 | Coffee Break (40 mn)

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°° PANEL: Avatars and Self-Presentation °°°°°°°°°°°°°°°°°°

16:00–16:30 | Alain DELLA NEGRA & Kaori KINOSHITA: Spotting “Tsuma” (short film, 2020)

16:30–17:00 | Agnès GIARD (Postdoctoral Researcher, Freie Universität Berlin, EMTECH, Germany): Becoming an Avatar in a Japanese Love Game: Female Identity and Desired Alienation

17:00–17:20 | Chat Meeting (20 mn)

SUNDAY: 12:00–17:20 | June 28, 2020

°°°°°°°°°°°°°°°°° PANEL: Kyara-ka and Embodiment °°°°°°°°°°°°°°°°°°

12:00–12:30 | Shunsuke NOZAWA (Assistant Professor, Hokkaido University, Japan): The Seiyūesque: the Layering of Agency and the Labor of Characterization

12:30–13:00 | Debra J. OCCHI (Professor, Miyazaki International College, Japan): Kyara-ka Characterizations, Technologies, and Tensions of Embodiment for Local Tokusatsu Action Heroes 
in Miyazaki’s Himukaizer Media Mix

13:00–13:20 | Chat Meeting (20 mn)

13:20–14:00 | Lunch Break (40 mn)

°°°°°°°°°°°°°° PANEL: VirtualTuber and Visual Transgendering °°°°°°°°°°°°°°

14:00–14:30 | Edmond ERNEST DIT ALBAN (Course Lecturer, McGill University, Canada): Kyara-ka as a Queering Process? From Queer Animation to Online VTubers Personas

14:30–14:45 | Lou RAMBERT PREISS
Les Zumains / DOLLER (short film, 2017)

14:45–15:15 | HOLOGRAPHIC (VTubers, graduates from Tōkyō University & Institute of Advanced Media Arts and Sciences -IAMAS, Japan): The Babiniku Phenomenon in Japan: when Men Metamorphose into Bishōjo Characters

15:15–15:35 | Chat Meeting (20 mn)

15:35–16:00 | Coffee Break (25 mn)

°°°°°°°°°°°°° PANEL: Hatsune Miku and Vocaloid Metamorphoses °°°°°°°°°°°°

16:00–16:30 | Rafal ZABOROWSKI (Lecturer, King’s College London, United Kingdom): Virtually Authentic: Co-creating Hatsune Miku

16:30–17:00 | Cody POULTON (Professor, University of Victoria, Canada): Performative Metamorphoses: Hatsune Miku and 3.5 Dimension Culture

17:00–17:20 | Chat Meeting (20 mn)

Amabie : la création comme geste barrière

Au Japon, on se protège avec des masques mais aussi en dessinant un cryptide, datant de l’époque Edo, appelé AMABIE : il s’agit d’un oiseau avec trois queues de poisson à la place des pattes. Un peu comme le yatta karasu (corbeau à trois pattes), version amphibie.

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Depuis son apparition, cet animal du bestiaire fantastique aurait été convoqué trois fois. C’est la quatrième fois dans l’histoire qu’il devient populaire : « S’il y a une épidémie, montre mon image »

Du coup…
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Plein de gens en dessinent. Il y a aussi des cafés qui vendent des latte-amabie. Des pâtisseries qui confectionnent des gâteaux-amabie, etc
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Et voici ma version:
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Love dolls et normes de genre – 8 mars 2020

« Le futur a-t-il un genre(s) ? » Pour répondre à cette question, des chercheurs et artistes des deux sexes sont invité-es, dimanche 8 mars 2020, à croiser leur regard lors d’une table ronde à laquelle je participe avec une reflexion intitulée « Love dolls et normes de genre ». Organisée à l’initiative de Florence Brunois-Pasina, anthropologue au CNRS, cette table ronde se déroulera dans le cadre du festival “Les féminins” (du 6 au mars) au Théâtre de Verre, à Paris.

Capture d’écran 2020-03-02 à 21.26.29« Le futur a-t-il un genre(s) ? » : dimanche 8 mars, à 20h30, conférence-diner au Théâtre de Verre : 12 Rue Henri Ribière, 75019 Paris (Metro Place des Fêtes)