La revue japonaise Courrier publie aujourd’hui une traduction de l’article que j’avais écrit pour Le Nouvel Observateur (hors-série spécial Pornographie) intitulé « Des estampes érotiques aux vidéos de sperme : Japon, pays de tous les désordres ? ». Ce qui donne : « Nippon, sore wa erotikkuna sôzôryoku ga bekkaku no kuni » (Le Japon, ce pays que la puissance d’imagination érotique rend si singulier »). Amusante transformation !